“Ce n’est pas la girouette qui
change, c’est le vent qui tourne”, Edgar Faure
Souvent, il y a cette étrange impression :
les choses ne vont pas comme nous le souhaiterions alors même que nous avons
toutes les cartes en main pour qu’il en aille autrement. Pourtant, manifestement,
un élément nous échappe.
Et un jour on se rend compte que la situation
précédente s’est transformée. C’est indéniable : les choses évoluent,
changent. Et souvent en bien.
En réalité, c’est peut-être Edgar Faure qui a raison :
ce n’est que le vent qui tourne.
C’est d’ailleurs peut-être parce que c’est une
histoire de vent que les belles choses arrivent quand on s’y attend le moins.
Un appel pour un entretien quand on a des chaussures de ski au pied et la tête
dans les nuages. La réussite d’un concours la veille de la rentrée. Recevoir un
coup de fil d’Australie quand on est perdu dans les montagnes arméniennes.
En cette période de début de Carême (et que l’on
croit ou non en Dieu), il est plaisant de remarquer combien c’est dans les
situations de manque que l’on mesure les bienfaits des imprévus et des plaisirs
quotidiens.
…
Et de l’inattendu
De ne pas négliger l’inattendu
…
Et parce que l’imprévu c’est aussi un télésiège
qui s’arrête quand il ne faut pas :
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